quiproquo
un des problemes les plus evidents des rapports humains, c'est qu'il faut, au moins, etre deux.
Et la s'enchainent, les incomprehensions, les quiproquos qui font de notre vie un enfer, où qui mettent un peu de sel dans notre vie suivant le point de vue ou l'on se place, et les experiences recentes que l'on vient de vivre.
Comprendre ce que dit l'autre va bien au dela des mots et du tons employés, si les extremes sont assez faciles à comprendre(Celui ci a envie de me peter la gueule, celle ci veut visiblement me faire plaisir, arretez mademoiselle c'est...) il existe toute une gamme de subtilité dans laquelle je l'avoue il m'arrive de me perdre. Mais je ne peux pas me plaindre, puisqu'en retour mes messages a moi ne sont pas clair pour autant.
Pire c'est dans le doute que je crois me laisser une chance. La chance que l'autre comprenne sans trop me mouiller, sans paraitre ridicule.
Toute communication devient alors steriles, faite de faux semblants et de demi comprehension, ou chaque participant decline ce qui est dit sur la base de son pré-jugement, ne prenant alors dans les mots de l'autre que ce qu'il a envie d'entendre.
Il faudrait revenir a une conversation plus simple, ou les choses sont dites sans ambiguités.
Un fois posée cette base, je me dit aussi que l'aventure des mots et des rencontres est une suite de perches tendues, de petites phrases qu'une trop grande clareté viendrait a ternir.
rien n'est simple...